Facilities

Chroniques

• Inventer le transport de demain !

  Isabelle de Marnix, Editeur délégué de facilities

  Lundi 17 Juin 2019

  

  Le 5 juin dernier, lors du Grand Prix des Entreprises de Croissance, le trophée 2019 “Transports & Logistique” dans la catégorie chiffre d’Affaires 100M à 1Mds € fut remis à un nouvel acteur sur le marché français, le Groupe Sterne. Construit autour de l’entreprise TCS, née en 1972 en Aquitaine devenu leader français du transport régulier sur mesure, le Groupe Sterne s’est renforcé en 2017 avec les rachats de Novea, Rhône Alpes Courses, Partners Express et ATS.

  Le Groupe réalise un CA d’environ 202 Ms d’euros et rassemble près de 1.100 collaborateurs avec 55 agences en France et à l’international. Il couvre l’ensemble du territoire avec 1.900 tournées exclusives et 3.500 courses/jour urbaines, régionales et nationales. Son statut de transitaire aérien lui permet de couvrir 191 pays dans le monde.

  

  Le 5 juin dernier, lors du Grand Prix des Entreprises de Croissance, le trophée 2019 “Transports & Logistique” dans la catégorie chiffre d’Affaires 100M à 1Mds € fut remis à un nouvel acteur sur le marché français, le Groupe Sterne. Construit autour de l’entreprise TCS, née en 1972 en Aquitaine devenu leader français du transport régulier sur mesure, le Groupe Sterne s’est renforcé en 2017 avec les rachats de Novea, Rhône Alpes Courses, Partners Express et ATS.

  Le Groupe réalise un CA d’environ 202 Ms d’euros et rassemble près de 1.100 collaborateurs avec 55 agences en France et à l’international. Il couvre l’ensemble du territoire avec 1.900 tournées exclusives et 3.500 courses/jour urbaines, régionales et nationales. Son statut de transitaire aérien lui permet de couvrir 191 pays dans le monde.

  Face à un métier en mutation, l’entreprise fonde sa stratégie sur sa capacité à apporter une prestation sur-mesure et à forte valeur ajoutée. Elle se positionne en organisateur de “solutions de transport” adaptant ses prestations aux besoins les plus variés de sa clientèle et des marchandises transportées : transport régulier de précision (tournées de nuit, livraison en J ou J+1), course urbaine (ponctuelle ou planifiée du dernier kilomètre), transport urgent et sur-mesure en Europe et dans le monde (solutions dédiées en J, optimisées en J+1, transport zones aéroportuaires).

  Le groupe dispose d’une plateforme digitale offrant une chaîne numérique en matière de relation client, traçabilité et optimisation en temps réel des flux urgents routiers et aériens. La combinaison du digital avec le réseau permet des solutions intégrées et innovantes.

  Engagé RSE, cela se traduit par la mutualisation des transports et la recherche permanente de leur optimisation, l’utilisation de véhicules hybrides et électriques; la signature d’un accord GPEC et d’une charte achat responsable ainsi que la certification “Ecovadis Gold” pour les 2 principales filiales du Groupe.

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• 13.000 repas perdus chaque jour dans les RE de la Défense !

  Association «La défense des aliments»

  Mardi 11 Juin 2019

  

  Le constat est sans appel. Le gaspillage alimentaire représente au total et en moyenne, 15 % de nourriture comestible jetée par jour. À l’échelle du plus grand quartier d'affaires d'Europe, l’estimation est de 6 à 9 tonnes de gaspillage quotidien dans les restaurants d'entreprise (RE). L'équivalent de 13.000 repas perdus quotidiennement...

  Ces chiffres impressionnants résultent de l'audit mené par «La Défense des Aliments». Cette association regroupe 5 entreprises de Paris la Défense (Allianz France, Arpège, Eurest, Mazars et Suez), rejointe par Paris La Défense, établissement public de l'aménagement et gestion du quartier, et soutenue par la DRIAAF Île-de-France et l’Ademe.

  Ont ainsi été mesurées, avec une méthodologie commune, lors de 2 campagnes de pesées, dans les 5 tours pilotes de ces entreprises, les quantités servies aux convives, celles jetées et celles conservées en cuisine. Résultats extrapolés ensuite aux 70 tours et 180.000 salariés de Paris La Défense, dont la moitié déjeune dans un restaurant d'entreprise ou inter entreprise.

  

  Le constat est sans appel. Le gaspillage alimentaire représente au total et en moyenne, 15 % de nourriture comestible jetée par jour. À l’échelle du plus grand quartier d'affaires d'Europe, l’estimation est de 6 à 9 tonnes de gaspillage quotidien dans les restaurants d'entreprise (RE). L'équivalent de 13.000 repas perdus quotidiennement...

  Ces chiffres impressionnants résultent de l'audit mené par «La Défense des Aliments». Cette association regroupe 5 entreprises de Paris la Défense (Allianz France, Arpège, Eurest, Mazars et Suez), rejointe par Paris La Défense, établissement public de l'aménagement et gestion du quartier, et soutenue par la DRIAAF  Île-de-France et l’Ademe.

  Ont ainsi été mesurées, avec une méthodologie commune, lors de 2 campagnes de pesées, dans les 5 tours pilotes de ces entreprises, les quantités servies aux convives, celles jetées et celles conservées en cuisine. Résultats extrapolés ensuite aux 70 tours et 180.000 salariés de Paris La Défense, dont la moitié déjeune dans un restaurant d'entreprise ou inter entreprise.

  50% du gaspillage proviennent de la nourriture non consommée dans les assiettes. Les 50 autres % concernent de la nourriture non servie (par exemple présentée en self-service et ne pouvant être réutilisée pour des raisons de réglementation et d’hygiène). Le pain, les entrées et les légumes/féculents sont les composantes les plus gaspillées par rapport au volume produit. En moyenne 24% du pain est gaspillé.

  Face à ce bilan, les entreprises partenaires ont signé une Charte de lutte contre le gaspillage alimentaire et mis en place leur plan d'action. Elles détaillent dans un guide les bonnes pratiques pour lutter collectivement contre toute forme de gaspillage alimentaire dans les RE. Ce guide, qui est assorti d'une boîte à outils et de fiches actions, est consultable publiquement et téléchargeable.

  L’exercice s’est déjà révélé concluant avec 23% de gaspillage en moins entre les 2 campagnes de pesées.

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• Pourquoi se doter d’un SIGR ?

  Michel Josset, Directeur assurances et immobilier de Faurecia

  Lundi 3 Juin 2019

  

  Gérer le patrimoine immobilier de l’entreprise se décline au travers de diverses fonctions, de la Direction immobilière aux Services Généraux mais comporte également de nombreuses autres facettes dont la gestion des risques et assurances, traitée par les Directions juridique, Assurances et Risk Management.

  Faurecia, équipementier automobile français, compte 420 sites dont 230 à vocation industrielle dans une trentaine de pays. Dans un contexte de croissance de l’entreprise et d’accélération des trans-formations, il est apparu indispensable de rassembler l’ensemble des informations dans un système central. L’objectif est de les consolider et d’en être maître plutôt que de dépendre de nos prestataires pour partie de ces données.

  Dans cette perspective, notre choix s’est porté sur un SIGR ((Système d’information de gestion des risques & assurances) capable de fédérer et homogénéiser les données de tous nos sites, développer une vision transverse de la gestion des risques & assurances, faciliter l’accès à des données complexes grâce une géolocalisation sites/risques , fournir un pilotage financier de l’activité...

  

  Gérer le patrimoine immobilier de l’entreprise se décline au travers de diverses fonctions, de la Direction immobilière aux Services Généraux mais comporte également de nombreuses autres facettes dont la gestion des risques et assurances, traitée par les Directions juridique, Assurances et Risk Management.

  Faurecia, équipementier automobile français, compte 420 sites dont 230 à vocation industrielle dans une trentaine de pays. Dans un contexte de croissance de l’entreprise et d’accélération des transformations, il est apparu indispensable de rassembler l’ensemble des informations dans un système central. L’objectif est de les consolider et d’en être maître plutôt que de dépendre de nos prestataires pour partie de ces données.

  Dans cette perspective, notre choix s’est porté sur un SIGR (Système d’information de gestion des risques & assurances) capable de fédérer et homogénéiser les données de tous nos sites, développer une vision transverse de la gestion des risques & assurances, faciliter l’accès à des données complexes grâce une géolocalisation sites/risques , fournir un pilotage financier de l’activité (ratio sinistres à primes, coût total du risque,…), le tout dans une solution Saas franco-française afin de répondre aux exigences de sécurité inhérentes au métier.Aujourd’hui un millier d’utilisateurs internes ( gestionnaires risques & assurances, correspondants assurances, direction industrielle, direction marketing, opérations, …) ou externes (courtiers, assureurs, auditeurs,…) accèdent de façon personnalisée et sécurisée à notre SIGR qui couvre un périmètre géographique, organisationnel et fonctionnel très large qui recense tous nos sites, entités juridiques, polices, primes, sinistres & réclamations. Ce SIGR est toujours en évolution, avec de nouvelles fonctionnalités à venir pour enrichir notre vision géo-décisionnelle et développer l’aspect modélisation et prédiction du risk management. Pour échanger avec Michel Josset sur la valeur ajoutée d’un SIGR et son expérience de mise en œuvre de la nouvelle plateforme iPorta SIGR, iPorta vous propose de participer,sur invitation, à son club immobilier le jeudi 20 juin de 10h à 12h. Contact christine.richard@visiativ.com  

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• La Croix-Rouge française lance "21"

  Grégoire Ducret, Directeur délégué à la stratégie et l'innovation de la Croix

  Lundi 27 Mai 2019

  Le 21 mai 2019, la Croix-Rouge française a ouvert 21, son Accélérateur d’Innovation Sociale, situé à Montrouge, au cœur du Campus Croix-Rouge. Cet espace de 1 000 m² est dédié aux entrepreneurs et intrapreneurs dans le secteur sanitaire, social et médico-social.   Le lancement de 21 a été marqué par l’officialisation du partenariat avec Le French Impact, la bannière nationale de l’innovation sociale et environnementale, initiée par le gouvernement en 2018 et portée le Haut-Commissariat à l’Économie Sociale et Solidaire et à l’Innovation Sociale.   21 est un lieu ouvert et perméable, un écosystème qui permet d’accompagner des solutions venant du terrain au travers des programmes d’intrapreneuriat destinés aux salariés et aux bénévoles de la Croix‐Rouge française, mais aussi des programmes d’entrepreneuriat social ouverts aux start‐up, aux autres associations et aux groupes privés. 21 accueille un coworking social, une résidence de partage dédiée aux entrepreneurs et organisations contribuant à la dynamique de l’écosystème de l’économie sociale et solidaire (ESS). Carrefour inédit de ressources et d’acteurs, 21 rassemble deux programmes d’accompagnement, une école de code informatique en partenariat avec Simplon ainsi qu’un studio de réalité virtuelle.

  Le 21 mai 2019, la Croix-Rouge française a ouvert 21, son Accélérateur d’Innovation Sociale, situé à Montrouge, au cœur du Campus Croix-Rouge. Cet espace de 1 000 m² est dédié aux entrepreneurs et intrapreneurs dans le secteur sanitaire, social et médico-social.   Le lancement de 21 a été marqué par l’officialisation du partenariat avec Le French Impact, la bannière nationale de l’innovation sociale et environnementale, initiée par le gouvernement en 2018 et portée le Haut-Commissariat à l’Économie Sociale et Solidaire et à l’Innovation Sociale.   21 est un lieu ouvert et perméable, un écosystème qui permet d’accompagner des solutions venant du terrain au travers des programmes d’intrapreneuriat destinés aux salariés et aux bénévoles de la Croix‐Rouge française, mais aussi des programmes d’entrepreneuriat social ouverts aux start‐up, aux autres associations et aux groupes privés. 21 accueille un coworking social, une résidence de partage dédiée aux entrepreneurs et organisations contribuant à la dynamique de l’écosystème de l’économie sociale et solidaire (ESS). Carrefour inédit de ressources et d’acteurs, 21 rassemble deux programmes d’accompagnement, une école de code informatique en partenariat avec Simplon ainsi qu’un studio de réalité virtuelle.   « 21 est un espace avant tout dédié au plaisir de la collaboration. Un lieu de partage, d'échange et d'ouverture. Aujourd'hui un espace de travail doit en premier lieu rassembler les conditions et outils pour favoriser la rencontre, la convivialité et la collaboration entre les usagers. L'hybridité des activités est une dimension importante pour la dynamique du lieu. Il est évident que le brassage, les frictions et les échanges entre différents types d'acteurs de cultures très diverses, auront un impact positif sur la qualité des projets et l'esprit du lieu. 21 favorise les porosités et les inter-espaces au sein même du lieu » expliquent les architectes de 21, Johan Brunel et Nicolas Omet (LOMA).

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• #FuturOfWork

  Quentin Villot, Account manager - OuiSpoon

  Lundi 20 Mai 2019

  

  L’expression “ future of work “, littéralement en français “ futur du travail “ est devenue ces dernières années très à la mode. Il y a des centaines de conférences, de livres et d’articles sur le sujet.

  La raison d’un tel intérêt est simple : l’accélération de la digitalisation, la robotisation et l’IA ont pris une place si importante dans notre société que nous avons le besoin, si ce n’est le devoir, de nous poser des questions sur l’avenir de nos métiers et donc de notre travail.

  Plus d’une étude affirme qu’une partie non négligeable des métiers de 2030 n’existeraient pas encore aujourd’hui, une étude de l’Institute for the Future et de Dell Technologies va même jusqu’à affirmer que cette part pourrait monter à 85% !

  Ce genre de statistique ne doit pas effrayer. Au contraire, elle doit faire prendre conscience aux organisations que leurs collaborateurs ont besoin d’être formés tout au long de leur carrière pour rester employables.

  

  L’expression “ future of work “, littéralement en français “ futur du travail “ est devenue ces dernières années très à la mode. Il y a des centaines de conférences, de livres et d’articles sur le sujet.

  La raison d’un tel intérêt est simple : l’accélération de la digitalisation, la robotisation et l’IA ont pris une place si importante dans notre société que nous avons le besoin, si ce n’est le devoir, de nous poser des questions sur l’avenir de nos métiers et donc de notre travail.

  Plus d’une étude affirme qu’une partie non négligeable des métiers de 2030 n’existeraient pas encore aujourd’hui, une étude de l’Institute for the Future et de Dell Technologies va même jusqu’à affirmer que cette part pourrait monter à 85% !

  Ce genre de statistique ne doit pas effrayer. Au contraire, elle doit faire prendre conscience aux organisations que leurs collaborateurs ont besoin d’être formés tout au long de leur carrière pour rester employables.

  En l’occurrence, le futur du travail c’est le futur de la formation en entreprise pour être capable d’accompagner ses collaborateurs face aux changements.

  Par ailleurs, comment envisager l’avenir de notre travail et de nos métiers avec le développement de nouvelles machines plus performantes que l’homme ?

  L’utilisation de robot pour suppléer ou remplacer l’humain n’est pas nouvelle puisque l’industrie automobile et la recherche spatiale y ont recours depuis les années 70. Mais aujourd’hui, aucun domaine ne semble pouvoir y échapper et ne pas y prêter attention serait une grave erreur.

  De la même manière que les robots ont eu un impact sur plusieurs industries, l’IA bouleverse nos métiers et nos habitudes de travail. A titre d’exemple, des équipes de médecins l’utilisent déjà pour les aider à diagnostiquer certains types de cancers.

  Réfléchir au futur du travail, c’est donc également envisager différemment notre rapport aux machines et réfléchir à l’impact que leur utilisation croissante pourrait avoir sur les salariés d’une entreprise.

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